Journée de la culture citoyenne et de la démocratie dans le moyen comoé (Indénié Djuablin)

Journée de la culture citoyenne et de la démocratie dans le moyen comoé (Indénié Djuablin)

Cliquez sur les images ci dessous pour afficher la galerie. C’est avec émotion que nous célébrons aujourd’hui dans le moyen Comoé, cette cérémonie dédiée à la paix qui scelle l’engagement des fils et filles de cette partie de la Côte d’Ivoire à l’adhésion totale à la paix.
Le 30 juillet 2007 se levait un jour nouveau pour notre patrie avec la flamme de la paix. Aujourd’hui, la paix prend petit à petit forme dans nos esprits.
Mais il nous faut la maintenir et l’entretenir. Il faut que la paix nous sourie dans toutes les régions de la Côte d’ivoire, dans tous les départements, dans toutes les communes, dans tous les villages, dans tous les campements, dans tous les hameaux, dans nos écoles, dans nos universités.
L’ONG Planète Paix consciente du rôle nécessaire de la jeunesse dans le maintien de la paix a décidé d’accentuer ses efforts d’une façon tout à fait particulière dans les écoles et dans les universités.
C’est pourquoi, dans un premier temps nous installons sur toute l’étendue du territoire nos sections. L’ONG se donne pour mission dans un deuxième temps de former tous ses membres à la culture citoyenne et démocratique pour le salut de la Côte d’Ivoire et partant de toute l’humanité.
C’est en conjuguant nos efforts que parents d’élèves, enseignants, professeurs, étudiants, élèves, nous réussirons à relever ce défi. La tâche est peut être difficile mais pas impossible.
Quand l’intérêt de la nation l’exige tous les fils et filles, comme un seul homme doivent se mobiliser, ils doivent mobiliser leur force; plus qu’un trésor la paix est un autre nom de Dieu. La paix viendra. Elle vient, avec nos efforts sans cesse renouvelés, éclairée par notre volonté libre et toujours enthousiaste.
Nous devons fournir l’effort de Sisyphe: Dans la mythologie grecque, roi de Corinthe, fils d’Eole qui fut condamné dans les enfers à rouler éternellement jusqu’au sommet d’une montagne, un rocher qui en retombait aussitôt. Cela peut se faire et cela se pourra.
L’espérance qui se lève pour tout le peuple ivoirien n’effacera certes pas totalement les souffrances éprouvées par le peuple dans son ensemble. Elle donne la mesure des efforts qu’il nous faut accomplir pour construire ensemble la paix. Rendons hic et nunc hommage à tous ceux, hommes politiques, militaires, bénévoles humanitaires, membres de la société civile, qui ont risqué leur vie pour que la paix l’emporte sur la guerre, pour que le respect de l’autre l’emporte sur le mépris.
Le rétablissement durable de la paix incombe d’abord à tous les fils et filles de ce pays et chacun de nous doit s’y employer.
L’ONG PLANETE PAIX invite donc tous ses membres et sympathisants, tous les vrais militants de la paix et surtout tous ceux qui sont ennemis de la paix à écrire ensemble en homme responsable et de paix les chapitres oh combien merveilleux de la nécessaire réconciliation, de la paix retrouvée et de l’amour. Qu’ils s’inspirent de la grande leçon que nous ont donnée les présidents; feu Félix Houphouët-Boigny en Côte d’Ivoire et Nelson Mandela en Afrique du Sud. Ce qui est en jeu, c’est notre avenir. C’est notre image. C’est aussi d’une certaine manière notre aptitude à surmonter nos problèmes.
Notre engagement à la paix répond à un idéal. Il traduit notre refus de la guerre, des haines religieuses ou ethniques, de l’intolérance, de la violence sous toutes ses formes.
Les ennemis d’hier doivent réapprendre à vivre ensemble, dans le respect de leur différence. Ce qui doit primer c’est l’intérêt, la sauvegarde et la suivie de l’Etat.
Nous devons fournir l’effort de Sisyphe: Dans la mythologie grecque, roi de Corinthe, fils d’Eole qui fut condamné dans les enfers à rouler éternellement jusqu’au sommet d’une montagne, un rocher qui en retombait aussitôt. Cela peut se faire et cela se pourra.
L’espérance qui se lève pour tout le peuple ivoirien n’effacera certes pas totalement les souffrances éprouvées par le peuple dans son ensemble. Elle donne la mesure des efforts qu’il nous faut accomplir pour construire ensemble la paix. Rendons hic et nunc hommage à tous ceux, hommes politiques, militaires, bénévoles humanitaires, membres de la société civile, qui ont risqué leur vie pour que la paix l’emporte sur la guerre, pour que le respect de l’autre l’emporte sur le mépris.
Le rétablissement durable de la paix incombe d’abord à tous les fils et filles de ce pays et chacun de nous doit s’y employer. L’ONG PLANETE PAIX invite donc tous ses membres et sympathisants, tous les vrais militants de la paix et surtout tous ceux qui sont ennemis de la paix à écrire ensemble en homme responsable et de paix les chapitres oh combien merveilleux de la nécessaire réconciliation, de la paix retrouvée et de l’amour. Qu’ils s’inspirent de la grande leçon que nous ont donnée les présidents; feu Félix Houphouët-Boigny en Côte d’ivoire et Nelson Mandela en Afrique du Sud.
Ce qui est en jeu, c’est notre avenir. C’est notre image. C’est aussi d’une certaine manière notre aptitude à surmonter nos problèmes. Notre engagement à la paix répond à un idéal. Il traduit notre refus de la guerre, des haines religieuses ou ethniques, de l’intolérance, de la violence sous toutes ses formes. Les ennemis d’hier doivent réapprendre à vivre ensemble, dans le respect de leur différence. Ce qui doit primer c’est l’intérêt, la sauvegarde et la suivie de 1’Etat.
Aujourd’hui, les politiques nous apportent une promesse de paix mais la vraie paix reste à construire. Elle devra ensuite être maintenue et consolidée par nos actions dans les esprits et les cœurs, et avec elle la démocratie, le respect des droits et libertés publiques; et la réconciliation effective de tous les enfants de ce beau pays.
Aujourd’hui commence la phase la plus difficile, la plus dangereuse aussi, et chacun à son niveau doit soigneusement mesurer ses propos, ses pas, avec clairvoyance, avec circonspection et responsabilité, car environ cinq ans de crise ne peut s’évanouir par un coup de baguette magique. La paix s’édifiera tout doucement, dans la vie de tous les jours, dans nos petits gestes, dans les détails insignifiants. Elle se construira pas à pas, grâce à l’action conjuguée de tout le peuple ivoirien. Quand le Président Laurent Gbagbo tend sa main à son ennemi d’hier le Premier Ministre Guillaume Soro et que celui-ci saisit cette main : c’est cela la paix. Quand nous disons la guerre est finie, c’est bien, mais ce n’est pas suffisant. Il nous faut répéter cette phrase à notre réveil, à l’heure du petit déjeuner, du déjeuner et avant de dormir. Il faut que cette phrase soit inscrite dans nos actions quotidiennes, dans nos cœurs, imprimée dans nos esprits, marquée dans notre âme. C’est de nos actions, de notre comportement que la paix vraie se consolidera, se jugera. Nous devons agir, nous dit Emmanuel Kant comme si la maxime de notre action devrait être érigée par notre volonté en loi universelle de la nature. La paix devra s’acquérir tout doucement parce que nous sommes pressés. La paix devra s’acquérir tout doucement parce que la paix se creuse comme un puits. Elle nécessite un travail minutieux. Elle a besoin d’expert capable de passer au peigne fin les moindres détails pouvant nous faire sombrer à nouveau dans une crise humiliante et honteuse pour notre pays. Elle a besoin d’expert capable de mesurer avec minutie chaque pas posé vers la paix. Nous sommes pressés, car depuis plus de cinq ans nous attendons ce jour pacifique à Bouaké, à Abidjan, à Man, à Abengourou, etc. Nous sommes pressés d’embrasser le voisin d’à côté. Nous sommes même pressés de marier la fille ou le fils de notre ennemi d’hier parce qu’en ce jour béni nous sommes amis ; c’est tout cela la paix. Nous sommes pressés de pouvoir nous promener à notre aise et profiter de la vie, en tous lieux de la chère pairie la Côte d’Ivoire. Nous sommes pressés de voir la solidité de l’unité de la Côte d’ivoire pour le plus grand bonheur de ces enfants. La paix est d’une grande importance, telle est donc ce qui justifie planète Paix. Le maire veut-il travailler pour sa commune? Il faut la paix. Le président du conseil général veut-il travailler pour son département. Il faut la paix. Les Gouvernants veulent ils travailler ? Il faut la paix. Le peuple aspire t-il à un mieux être social ? La paix, Mesdames, mesdemoiselles et messieurs, le développement est mort, le bonheur s’efface, toutes ces grâces s’évanouissent, si l’on ne s’applique avec soin à fixer en quelque sorte la paix, et à la rendre durable. Nous avons été choisis par le destin pour ce beau dessein, et nous l’assumerons en toute responsabilité, en toute intelligibilité et impartialité. Si nos vœux sont exaucés, Si nos soins prospèrent, la paix ne sera pas seulement un jour le digne sujet de nos discours. Elle connaîtra les beautés, elle en aimera les douceurs, en couronnera le mérite. Notre mission est noble, elle est haute et claire, toujours propager l’idée de paix, toujours espérer, toujours lutter jusqu’à la définitive victoire de la paix. Mais la paix en Côte d’Ivoire ne sera réellement positive et effective, mesdames, mesdemoiselles et messieurs qu’à travers des élections libres, transparentes, en un mot démocratiques. Dans une démocratie il peut y avoir des désaccords mais la décision finale sera tranchée par des élections démocratiques. Nous ne voulons plus seulement rêver de la paix. Nous ne voulons plus seulement rêver à la paix, mais nous voulons construire la paix. Nous voulons construire paix. Nous ne voulons plus seulement parler de la paix.
Nous ne voulons plus parler paix. Mais nous voulons agir au nom et pour le compte de la paix. Aussi chacun de nous doit-il faire un pas vers la paix nous dit la méga star Alpha Blondy. Et nous Planète Paix, ferons toujours ce pas vers la paix. Nous emprunterons toujours la voie de la paix. Nous devons faire «atu» à la paix. Comme une mère elle nous attend les bras ouverts sans rancune.
La paix a besoin de nous, la paix a besoin de vous. Elle a besoin de chacun de ses enfants. Elle veut se réconcilier avec chacun de ses enfants. Elle nous tend la main. Même si en réalité c’est nous qui avons besoin d’elle. Saisissons cette main et marchons la tête haute vers la construction d’un monde meilleur fondé sur l’amour, et où la crise, le conflit, la guerre et leurs dérivés seront pendus haut et court. Nous ne saurions terminer sans remercier
– Son excellence Monsieur Bernard Tanoh Boutchoué,
– Monsieur Kouao Ignace,
– Les doyens, Monsieur, Abdoulaye M’Bengue, Anoh Kouao Germain, Edoukou Bernard, Eponon Kouao,
– Monsieur Le Préfet,
– Madame le Sous-préfet;
– le Président du Conseil Général Monsieur Edjampan Tiémélé,
– Monsieur le Maire,
– Monsieur le Directeur de la Radio AGNIA FM;
– la Mutuelle pour le Développement Economique Social et Culturel d’Aprompronou (MUDESCAP);
– Messieurs les représentants des communautés religieuses;
– Messieurs les représentants des communautés ethniques;
– Toute la population d’Abengourou;
– l’ONUCI;
Bref, tous ceux qui d’une façon ou d’une autre, de loin ou de près nous ont permis ou nous permettent de mener à bien notre mission.
Je vous remercie !!!

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